suite du conseil du 18 Déc 2013

La commune reçoit le label Ville sportive 2013
Saint-Philbert-de-Grand-Lieu -
À l'issue du conseil municipal, lundi soir, Philippe Gilet, adjoint aux sports, a annoncé que « Saint-Philbert-de-Grandlieu avait reçu, samedi dernier, à Cholet, le label de Ville sportive 2013 (1) », avant de poursuivre : « Cette année, le comité régional olympique et sportif des Pays de la Loire et le comité départemental olympique et sportif de Loire-Atlantique ont organisé le Challenge de la ville la plus sportive et l'attribution du label, Ville sportive 2013. »
La candidature de la commune a été retenue par les deux comités, qui ont envoyé une délégation dans la commune. « Nous avons présenté, aux quatre délégués des deux comités, la politique sportive de la ville et les actions menées dans le cadre de cette politique, précise l'élu. Nous avons ensuite visité tous les équipements sportifs de la commune et, en soirée, nous avons reçu les membres des comités avec les associations sportives philibertines, qui ont présenté leurs projets. »
« Avec Xavier Douaud, conseiller délégué à l'animation sportive, nous nous sommes rendus, samedi dernier, à Cholet pour recevoir le label, poursuit Philippe Gilet. Je tenais, ici, à remercier les services de la ville et les associations philibertines pour leur implication dans le dossier, ainsi que Nicole Clavier, adjointe à la vie associative, pour sa participation au projet. »
(1) Au niveau régional, avec une flamme, dans la catégorie des villes de 4 000 à 10 000 habitants.

Conseil du 18 déc 2013

Conseil : les nouveaux enjeux du tourisme
Saint-Philbert-de-Grand-Lieu -

Le débat d'orientation budgétaire pour l'office de tourisme a été abordé lundi soir, lors du conseil municipal. « Trois grandes orientations ont été choisies pour 2014, a présenté Florence Le Coz, adjointe au tourisme : favoriser la communication auprès de la clientèle touristique, développer les enquêtes de connaissance des publics et rechercher de nouvelles cibles pour la promotion du territoire. »
Côté communication, après avoir rappelé que l'office de Saint-Philbert travaillait avec celui de Loire-Atlantique méridional (Legé) sur le développement touristique, l'adjointe a annoncé la réalisation commune d'un diaporama. Celui-ci donnera des informations touristiques dans des lieux publics des deux secteurs, pendant la fermeture des offices. L'accent sera mis sur les traductions pour le public étranger (8 % des fréquentations) et un Éduc-tour (promotion des offres) verra le jour, à l'initiative des hébergeurs.
Enfin, l'office du tourisme sera présent sur le site tourisme.fr et de nouveaux produits dérivés (tasses décorées, porte-clés, etc.) seront proposés.
Lors du débat, Stéphan Beaugé, conseiller d'opposition, s'est interrogé sur la mutualisation au niveau de l'intercommunalité : « Je souhaiterais que dans chaque commune de la communauté, on partage un certain nombre d'objectifs en matière de tourisme. » Il est également revenu sur la question « de l'hébergement au niveau du syndicat de Pays ». Sur cette dernière question, le projet Tour du lac, dont l'ouverture est prévue au printemps (Ouest-France du 17 décembre), avait relevé ce besoin de développer l'offre d'hébergements sur le territoire, notamment pour l'inscription au GR (Grande randonnée) de pays.
Sur l'intercommunalité, Monique Rabin a rappelé que, « dès 2009, nous avions sollicité les collectivités pour mutualiser les offices de tourisme. Nous n'avions pas eu de réponses. Nous espérons que l'évolution de l'intercommunalité, à partir de 2014 (1), ouvrira une nouvelle réflexion intercommunale autour du tourisme. » « De notre côté, a-t-elle insisté, nous avons mutualisé nos offices avec Loire-Atlantique méridional. » Enfin, Monique Rabin a annoncé que la Maison du Lac, sujet également évoqué par Stéphan Beaugé, « se fera l'écho du potentiel de chaque commune riveraine ». Par exemple, des oiseaux de la collection Warzecha seront exposés à Bouaye.

(1) Six des neuf maires de la CCGL (Communauté de communes de Grand-Lieu) ne se représentent pas.

Assemblée générale de Spectacles en retz

Un nouveau rendez-vous pour Spectacle en Retz
Saint-Hilaire-de-Chaléons -       
Une trentaine de personnes ont assisté à l'assemblée générale du collectif Spectacles en Retz, jeudi au théâtre de Saint-Hilaire. Avec un budget équilibré, un conseil d'administration renouvelé, Spectacles en Retz reconduira ses actions en 2014. Une présentation de ses activités a mis en avant le rôle de la diffusion de spectacles.
Son action se développe autour de l'éducation artistique et culturelle pour les enfants et les jeunes, la formation des animateurs, le soutien à la création. Il s'attache à affirmer une mission de services auprès des acteurs culturels locaux. Depuis 1995, le collectif Spectacles en Retz conçoit son action sur la base de la co-construction, par la mise en réseau des acteurs du territoire. Respectant l'autonomie de chacun, il propose des espaces de concertation, propres à renforcer les liens et des actions communes.
Le collectif Spectacles en Retz compte aujourd'hui 55 structures membres (34 associations, 18 communes, 3 entreprises) et 65 adhérents individuels.
Prochain rendez-vous : le festival Errances « balade méditerranéenne » proposera une trentaine de rendez-vous dans le Pays de Retz. Pour participer à une ou plusieurs de ses actions, pour bénéficier des services et avantages, rejoignez le collectif ! (bulletin d'adhésion téléchargeable sur www.spectacles-en-retz.com ou sur demande : collectif.ser@wanadoo.fr - 02 40 31 73 67.)

A peine la rénovation des salles de sport terminée, aujourd'hui consultation pour la future salle près du nouveau collège

Les clubs philibertins retrouvent leurs salles de sport
Saint-Philbert-de-Grand-Lieu -

« Les premiers matches ont eu lieu dans les nouvelles salles de sport, le week-end dernier, et les créneaux pour tous les clubs et les collèges ont été redistribués lundi 9 décembre. » Philippe Gilet, adjoint aux sports, Claudine Recoquillé, chef du projet, et David Poupard, chargé de la vie associative, des sports et de la prévention, peuvent enfin respirer : les travaux de réhabilitation des salles Tokyo, Barcelone et Sydney sont terminés et les équipements sont aujourd'hui opérationnels.
Avec une quarantaine d'associations sportives et la moitié de ses équipements multisports en travaux depuis un an et demi, la commune a eu fort à faire pour gérer au mieux la saison 2012-2013. Démarrés en septembre 2012, avec le chantier de pose des panneaux photovoltaïques par la société Innea (1), les travaux se sont poursuivi avec la réhabilitation des salles par la commune en janvier dernier.
« L'usage sera le même qu'auparavant, sauf pour le roller et le foot en salle, qui seront pratiqués salle Montréal ou en extérieur, le sol et les panneaux isolants muraux n'étant pas adaptés à ces sports », confirme Philippe Gilet. La salle Tokyo est prévue pour le basket, le hand, le volley et le mini-basket. Les salles Barcelone et Sydney retrouvent le tennis de table et de judo.
Le coût du projet s'élève à 1 898 683 €, subventionnés par l'État (200 000 €), le conseil régional (101 350 €), le conseil général (714 000 €) et la commune (879 343 €). « Pour le conseil général, la subvention rentre dans le cadre de sa politique d'aide pour les équipements destinés aux collèges », rappelle Claudine Recoquillé. Philippe Gilet, de son côté, tient « à remercier tous les clubs pour leur patience, ainsi que les communes de Saint-Colomban et de La Limouzinière, qui nous ont prêté leurs salles. » À suivre : la construction, l'an prochain, d'un nouveau complexe sportif aux Grenais, dans le cadre du futur collège.
(1) Chantier autonome, la pose de panneaux photovoltaïques sur le toit de la salle Tokyo a été accompagnée de travaux de désamiantage, de charpente et d'étanchéité des toitures. La société bénéficie, en échange, d'un bail de vingt ans pour l'exploitation solaire.

belle rénovation, belle salle, bel acoustique

La salle Tokyo, née de l'opération « 1 000 gymnases »
Saint-Philbert-de-Grand-Lieu -

La première salle multisport de Saint-Philbert-de-Grandlieu a été construite en 1978, dans le cadre de l'opération « 1 000 gymnases », initiée par le gouvernement Raymond Barre. En 1983, deux salles spécialisées (judo et sports de combat pour Sydney, tennis de table pour Barcelone) sont construites et accolées à la salle Tokyo.
Les travaux de réhabilitation ont été motivés par le caractère obsolète des salles et les questions de sécurité et de mise aux normes qu'elles posaient (sols glissants et accessibilité). La restructuration a été choisie pour réduire les coûts : 793 € du m², contre une moyenne de 1 300 à 1 500 € pour la construction d'une salle neuve à l'isolation phonique.
Enfin, la salle Tokyo est désormais accessible directement de l'allée des Chevret et s'ouvre sur un large accueil avec bar, distribuant les autres salles (Montréal et Athènes). Elle est équipée de six vestiaires équipes et de deux vestiaires arbitres.

bonnes nouvelles pour l'extension de la station, tout le monde devrait être ravi mais Mr Beaugé a l'air d'être désolé de l'autorisation du Prefet....

Assainissement : fin de la première tranche de travaux
Saint-Philbert-de-Grand-Lieu -

Trois questions à...
Loïc Chocteau et Valérie Druhen, conseiller délégué à l'assainissement et directrice des services techniques.
Quelles améliorations pour l'assainissement collectif ?
Certains travaux sont visibles pour les Philibertins, comme l'installation d'un réservoir supplémentaire dans le secteur des Bresses, la réhabilitation des réseaux aux Guittières, aux Courtils et dans le secteur du chemin de la Plage. D'autres le sont moins, comme le changement des brasseurs de la station d'épuration. D'autres encore sont à l'état de projet.
Quel avenir pour la station d'épuration ?
La station ayant atteint sa limite de capacité de traitement, le risque était grand de voir les projets d'urbanisation retardés, notamment la construction des lotissements du Moulin du Chaffault et de La Meule. Aujourd'hui, le réseau eaux usées de la Ville compte 2 048 abonnés (foyers, entreprises, artisans) et la capacité de la station est de 4 000 équivalents habitants (1). Le projet d'extension de la station, à horizon vingt ans, doublera cette capacité. Des travaux intermédiaires ont été engagés entre le début de l'été et octobre, en attendant une extension future, à l'étude. Les travaux de renforcement de la station de cet été ont été dimensionnés pour pouvoir accueillir les prochaines urbanisations prévues, ainsi que les projets d'habitations isolées. Donc, pas de nouvelle station en vue et par conséquent, pas de nouvelles conquêtes de terres agricoles.
Quels sont les travaux en attendant l'extension ?
Le traitement des boues a été amélioré par un brassage plus puissant, permettant de réduire le temps d'absorption des eaux usées. Trois aérateurs, notamment, ont été changés. Ces aérateurs seront réutilisés pour la nouvelle station. Les premiers résultats, donnés par l'exploitant, sont « excellents » par rapport au traitement de l'eau. Des sondages d'infiltration ont été réalisés cet été, montrant qu'il n'y avait pas besoin de plus d'espace pour respecter la qualité de la rivière. Une zone d'infiltration sera créée, permettant d'éviter le stockage des eaux usées en période d'étiage. La commune travaille sur le dossier avec les services de l'État, via la Police de l'eau.
(1) Un « équivalent habitant » correspond à la production d'eaux usées d'une personne, présente durant une journée entière à son domicile.

Une Maison Familiale Rurale dynamique et bien ancrée sur notre territoire, pleines d'initiatives à encourager

La Maison familiale rurale se bat pour accueillir des élèves en BTS
Saint-Philbert-de-Grand-Lieu -

« C'est la première année que nous allons présenter des élèves au Bac pro, services aux personnes et aux territoires », annonce Guillaume Ferchal. Directeur de la Maison familiale rurale de Saint-Philbert-de-Grandlieu, il revient sur l'assemblée générale de la MFR qui s'est déroulée, vendredi dernier.
La structure phililbertine vient compléter l'offre éducative de la commune, cette dernière s'étalant du premier au second degré, avec trois écoles, deux collèges et un lycée professionnel (MFR). « Nos effectifs étaient de 101 élèves, en septembre dernier », poursuit le directeur.
Les secteurs professionnels de la Maison familiale s'étendent du social au sanitaire et sont principalement axés sur l'accompagnement à la personne (petite enfance, animation, éducation, accompagnement des personnes âgées, malades, handicapées). L'enseignement se fait par alternance, avec des cours dans l'établissement et des stages en milieu professionnel. « Même si cela est notre mission, notre niveau de réussite est très bon, avec 97 % de reçus aux examens », complète Guillaume Ferchal.
Mais le projet actuel de l'association reste bien la création d'une formation, post-Bac, conduisant à un Brevet de technicien supérieur. « Cela fait deux ans que nous travaillons à l'ouverture d'un BTS, développement et animation des territoires ruraux, sur le pays de Retz, et notamment dans notre établissement, rappelle le directeur. Il nous a une nouvelle fois été refusé par le conseil régional, mais nous le représenterons en 2014. Le travail d'enquête que nous avons réalisé sur le territoire et les demandes des entreprises nous confortant dans la pertinence de ce brevet. »
Pour satisfaire la demande locale, à ce niveau de formation, les lycéens de Saint-Philbert sont, en effet, obligés de poursuivre leurs études dans des structures « en Vendée ou à Nantes », regrette Guillaume Ferchal. L'association entend également renforcer sa présence dans la cité. « Une maison familiale n'existe dans un endroit que parce qu'elle est à l'écoute du territoire et répond à ses besoins, insiste le directeur. Localement, il y a un besoin de salles. Or nous avons de la place, ici. De même, nous pouvons jouer un rôle dans les activités périscolaires, générés par les nouveaux rythmes des écoles. Nos jeunes, qui sont dans le service à la personne, doivent pouvoir répondre à ces besoins. »

Découverte importante pour St Philbert qui permettra de mettre en valeur la commune et ses alentours

Fouilles archéologiques à Saint-Philbert. Des sépultures découvertes
Saint-Philbert-de-Grand-Lieu -

Quatre sépultures viennent d'être découvertes, lors de fouilles archéologiques menées le long de l'abbatiale de Saint-Philbert-de-Grandlieu.

Datant de l'époque carolingienne (IXe siècle), l'abbatiale constitue l'église d'un ancien monastère, dont les autres éléments bâtis ont disparu. Ces fouilles sont réalisées à l'initiative de la ville de Saint-Philbert, par l'Institut national de recherches archéologiques préventives.

Maison Quillaud : l'inauguration lance le marché bio - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

samedi 28 septembre 2013

La municipalité (ici, Florence Carsin, Florence Le Coz, Didier Billon, Cédric Delaunay et Paul Desveronnières) invite la population à l'inauguration de la Maison Quillaud, mercredi prochain/Elle correspondra à l'ouverture du nouveau marché bio sous la halle.


« L'idée d'organiser l'inauguration de la Maison Quillaud début octobre était de la faire correspondre avec l'ouverture du nouveau marché bio du mercredi soir... » Ils sont trois adjoints et une conseillère municipale, ce jour-là, autour de Cédric Delaunay, responsable de l'opération, Coeur de ville : Paul Deveronnières, Florence Le Coz et Didier Billon, adjoints aux affaires générales, à l'économie et au développement durable ainsi que Florence Carsin, conseillère à la culture.
Acquise en 2010 par la Ville sur les conseils de la Chambre de commerce et d'industrie « pour renforcer l'attractivité du centre-ville », l'ancienne épicerie d'angle de la place de l'église a été réhabilitée pour accueillir trois projets distincts : le commerce O'Saisons, au rez-de-chaussée, deux logements d'urgence à l'étage et une halle sur le terrain attenant, rue de la Paix.
Si le magasin, ouvert en juin au rez-de-chaussée, est déjà connu de la population, le nouveau marché bio, qui se tiendra sous la halle chaque mercredi soir, fêtera sa première le jour de l'inauguration. Les deux logements d'urgence sont déjà attribués. « Ces deux logements ont été transférés de Plaisance, explique M. Delaunay. Ils ont été adaptés aux profils que nous pouvions rencontrer pour ce type de demandes. » En l'occurrence, un appartement pour une famille monoparentale avec des enfants et un autre pour des personnes isolées ou des jeunes couples. Les appartements sont à l'étage et comprennent chacun un duplex. « Ces logements, rappelle le chargé de mission, sont gérés par l'association Trajet, qui accompagnera les familles dans le suivi de leur parcours d'habitat, l'accueil dans ces deux appartements étant provisoire. »
Le coût global du projet est de 510 000 € TTC et a bénéficié de l'aide logistique du Pays de Grand-Lieu, Machecoul et Logne pour les demandes de subventions, du soutien financier du Département (18 %) et de la Région (26 %), de l'État (3 %) et de l'Europe (11 %), la ville ayant à sa charge les 42 % restant.

Mercredi 2 octobre, inauguration de la Maison Quillaud, place de l'église. À 17 h, ouverture du premier marché bio sous la halle et animations. À 18 h 30, inauguration en présence du président du conseil général, Philippe Grosvalet, découverte du marché, visite d'un appartement, portes ouvertes du magasin O'Saisons.

Mon soutien et encouragement à Fabrice et à toute son équipe

Municipales : une liste conduite par Fabrice Vénéreau - La Chevrolière

mercredi 02 octobre 2013

Fabrice Vénéreau (2e à gauche) et quelques-uns de ses colistiers en vue des prochaines élections.
municipales 2014

Fabrice Vénéreau, 42 ans, marié, père de deux enfants, directeur général des services d'une commune de 19 000 habitants et impliqué dans la vie de la commune et du territoire depuis vingt ans au sein de différentes associations, conduira une liste de rassemblement sans étiquette pour les prochaines élections municipales.
« La Chevrolière, naturellement solidaire, ce sont des hommes et femmes attachés au bon vivre à La Chevrolière et impliqués dans la vie associative, ce qui entraîne une bonne connaissance de la commune et des attentes de ses habitants. Notre projet, qui sera dévoilé début 2014, s'articule autour de valeurs républicaines de solidarité, d'entraide et de tolérance. » Des réunions de proximité seront engagées pour échanger avec les Chevrolins : « Notre commune aborde une étape de développement importante. Elle doit devenir un territoire à la fois attractif et agréable, ambitieux et protecteur où l'expression et la participation des Chevrolins sont réellement prises en compte. Nous poursuivrons ce qui a été commencé, avec un projet alternatif plus ambitieux inscrivant la commune dans un développement démographique durable et responsable tout en préservant notre identité rurale et notre mémoire. » Fabrice Vénéreau a rencontré Johann Boblin, maire, pour l'informer de sa démarche et souhaite que cette campagne se passe pour le mieux, dans le respect des personnes. « Attaché au sens de l'intérêt commun, j'aurai à coeur de continuer tout naturellement à m'engager au service de tous et de La Chevrolière où j'ai grandi et je réside. »

La ville regroupe services techniques et urbanisme - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 27 septembre 2013

Florence Le Coz, ici à côté de Chloé Lamboeuf, la nouvelle responsable du service urbanisme, recrutée pour le regroupement des services techniques et aménagement urbain.


« Nous avons décidé de réunir sous une même direction les services techniques et l'urbanisme pour un meilleur service des usagers... » Florence Le Coz est adjointe à l'urbanisme et au développement du territoire. Elle présente la nouvelle responsable de l'urbanisme, Chloé Lamboeuf, qui vient d'être recrutée dans le cadre de la restructuration des services de la ville. « L'idée est de travailler sur la transversalité pour que les usagers ne soient pas renvoyés d'un service à un autre, poursuit Florence Le Coz, il n'y aura donc plus qu'un seul accueil. »
La ville a profité de cette restructuration des services pour renforcer le volet urbanisme, notamment en prévision de la révision du Plu (Plan local d'urbanisme), en recrutant Chloé Lamboeuf. « Je viens de la région parisienne, indique-t-elle, j'ai travaillé pendant quatre ans en tant qu'adjointe à la direction de l'urbanisme, de l'aménagement et du développement économique de la mairie de Maison-Laffitte, dans les Yvelines. » Souhaitant évoluer dans sa profession et quitter la région parisienne, elle a choisi la région nantaise qu'elle connaît et apprécie.
Révision du Plan local d'urbanisme
Ses fonctions seront rattachées aux questions liées aux procédures d'urbanisme et au droit du sol, permis de construire, construction de maison, déclaration préalable, etc. « Ma première mission, précise-t-elle, sera de m'occuper de la révision générale du Plan local d'urbanisme, qui a été lancé en février 2011. » Le Plu, actuellement applicable, date de 2007. « C'est une procédure assez complexe, poursuit l'élue, elle demande effectivement une volonté politique forte, mais aussi des moyens humains. »
Une procédure qui nécessite, selon la nouvelle responsable « une grande concertation, entre les habitants et la commune, et qui sera, de plus, aidée par le pays de Grand-Lieu, Machecoul et Logne, dans le cadre d'une démarche environnementale renforcée. » Démarche dont l'expérience profitera aux autres communes du pays autour d'ateliers futurs. « Notre fonction, ajoute Chloé Lamboeuf, sera d'accompagner le public, à la fois pour préparer leur dossier, avant le dépôt, mais aussi pendant l'instruction, puis après, s'ils ont des questions sur la suite de leur dossier. »
Service urbanisme. Accueil sans rendez-vous, les lundi, mardi, jeudi et vendredi. Le mercredi, ouverture du service uniquement sur rendez-vous. Accueil mairie : tél. 02 40 78 88 22.

Il y a bien longtemps que j'envisageais un rapprochement entre écoles et centres de loisirs, nous devons mutualiser nos moyens et partager les espaces

 

L'extension de Jacqueline-Auriol attendue en décembre 2014 - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

jeudi 26 septembre 2013




Nicole Clavier, adjointe à l'éducation, a présenté, lors du dernier conseil municipal, l'avant-projet de l'extension de l'école Jacqueline-Auriol. « Pour faire face à l'augmentation des effectifs dans les écoles, à l'accueil périscolaire et au centre de loisirs, a-t-elle introduit, nous avons décidé une extension dans l'école, avec un double objectif : créer deux classes ainsi que des espaces d'accueil pour le centre de loisirs et l'accueil périscolaire. » L'avantage de cette mutualisation des espaces ? Éviter de construire de nouveaux sanitaires et accéder à la salle de motricité en réalisant des économies.
« Le bâtiment sera en ossature bois, a détaillé l'élue. Elle sera composée de différents panneaux, lui donnant un aspect ludique et décoratif... » L'extension comprendra quatre salles, dont deux classes, une salle de repos, une kitchenette et un rangement, une chaufferie et un bureau pour l'Association philibertine enfance jeunesse (Apej). Une entrée avec un auvent et une coursive couverte accueilleront enfants et parents ; un nouveau préau de 100 m² fera également partie du projet, avec un jardin patio à l'étude. Toutes les salles faisant 60 m², elles pourront dans l'avenir être transformées en salles de classes. Le montant des travaux s'élève à 774 000 € HT.
« Je découvre totalement ce projet, a avancé Stéphan Beaugé, conseiller d'opposition. Je trouve ça désagréable, surtout pour un investissement de 774 000 € ! Ensuite, les conditions de l'accueil périscolaire ne sont pas bonnes. J'aimerais que vous nous disiez comment ça se passe... »
« Nous avons déjà parlé de cette extension au conseil municipal de février dernier lorsque nous avons lancé le projet, a rappelé Nicole Clavier. Dans les commissions, cette extension a été abordée au printemps et vous avez un représentant de votre groupe au conseil d'administration de l'Apej, qui suit le dossier... »
Sur la question de l'accueil périscolaire, Monique Rabin, maire, et Chantal Pineau, adjointe à l'enfance, ont donné quelques explications. « Entre 2008 et 2010, les effectifs dans les écoles primaires sont restés aux environ de 1 115 enfants, ont-elles détaillé. Depuis 2011, nous avons 90 enfants de plus. Les familles inscrivent aussi leurs enfants dans plusieurs endroits et nous devons attendre le mois de septembre pour que les listes d'attente s'assainissent. » L'extension est attendue, au plus tard, pour décembre 2014.

St Lumine se déplace à l'assemblée nationale, reçu par Monique Rabin

Les élus ont visité l'Assemblée nationale - Saint-Lumine-de-Coutais

samedi 21 septembre 2013




Mardi, les élus du conseil municipal de Saint-Lumine-de-Coutais se sont rendus à Paris pour visiter le palais Bourbon, siège de l'Assemblée nationale où les 577 députés se réunissent pour représenter les Français. Ils ont été accueillis par la députée de la 9 e circonscription de Loire-Atlantique et maire de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, Monique Rabin, qui les a accompagnés tout au long de la journée. Les élus ont découvert l'hémicycle où les députés et sénateurs votent les propositions de loi et assisté à une partie des questions posées au gouvernement.

Aides à l'amélioration de l'habitat via le Pays de Grand Lieu Macheoucl et Logne


Les petits commerces devront-ils s'installer dans le bourg ? - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mardi 24 septembre 2013

La commune envisage une révision du Plu visant à interdire aux commerces de proximité (ici, le magasin O'Saisons, place de l'Église), de s'installer en dehors du centre-ville.


Lors du dernier conseil, lundi, la majorité a présenté une délibération pour une modification du Plan local d'urbanisme, « tendant à flécher l'installation des commerces de proximité dans le centre-ville, en interdisant leur implantation à l'extérieur de la centralité ».
En l'occurrence, il s'agit de modifier le Plu pour que les commerces de proximité, d'une surface située entre 50 et 250 m², ne puissent plus s'implanter à l'extérieur du centre-ville. « Cette mesure, a expliqué Monique Rabin, maire, vise à renforcer l'attractivité du centre-ville, en limitant la taille des commerces qui souhaiteraient s'installer en dehors de l'hyper-centre. Nous voulons ainsi éviter de dévitaliser notre centre-ville, comme on peut l'observer dans des communes proches telles que Clisson, Vallet, Machecoul ou encore Legé, où il y a deux centres-villes dont un avec des petits commerces autour d'une grande surface. »
Pour le conseiller d'opposition, Stéphan Beaugé, « tout le monde est favorable au commerce de proximité... Mais ce sont les consommateurs qui sont au centre du jeu, la vraie question étant : comment amener ces consommateurs dans les magasins ? Ce qui nous gêne dans cette proposition, a-t-il ajouté, c'est le mot « interdiction ». Je préfère le mot « limiter » car interdire ne permet pas de regarder les choses intelligemment. »
Pour Monique Rabin, « il ne s'agit pas d'empêcher les implantations commerciales à Saint-Philbert, mais bien de conforter le dynamisme du centre-ville et de veiller à ce que les localisations nouvelles ou les relocalisations ne se fassent pas en défaveur du commerce de proximité. Quant au mot « limiter », à partir du moment où vous commencez à introduire de la subjectivité dans un dossier, vous entraînez forcément des inégalités entre les demandeurs. »


Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
 
 
 

 

Un nouveau périmètre de protection pour l'abbatiale - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

lundi 23 septembre 2013



« Désormais, le nouveau périmètre de protection de l'abbatiale inclura la communauté Saint-François, le ruisseau Saint-Rémy et la vallée de la Boulogne... » Lors du conseil municipal de lundi soir, les élus ont voté à l'unanimité le nouveau périmètre de protection de l'abbatiale, classée aux Monuments historiques, et de la villa des Bretaudières, classée à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Ces deux modifications ont été proposées par l'architecte des Bâtiments de France.
« L'ancien périmètre de protection de l'abbatiale était de forme circulaire, d'un rayon de 500 m autour de l'édifice, et n'offrait pas de visibilité sur les habitats anciens autour du monument », a précisé Florence Le Coz, adjointe à l'urbanisme. Le nouveau périmètre agrandit sa surface sur la zone naturelle autour de la Boulogne et se recentre sur le vieux bâti autour de l'abbatiale.
L'élément important dans cette décision, outre la cohérence du nouveau périmètre en regard du monument et de son environnement, c'est qu'il réduit considérablement le nombre de logements de l'hyper-centre, impactés par les contraintes, liées à la proximité de l'abbatiale. « Les préconisations liées aux Monuments historiques s'appliqueront sur le bâti ancien, a confirmé Claude Denis, conseiller municipal. Il n'y aura pas d'impact sur le droit à construire. »
Quant aux contraintes, à l'intérieur du périmètre, elles imposent que les dossiers de permis de construire soient remis à l'architecte des Bâtiments de France, ce dernier pouvant préconiser des prescriptions sur le bâti (matériaux, revêtements, ouvertures, etc.), répondant ainsi aux exigences architecturales et environnementales des monuments historiques. « La tendance est à l'uniformisation des constructions, a commenté Stéphan Beaugé, conseiller d'opposition. Derrière cette question du périmètre se pose la question de l'identité de l'habitat de Saint-Philbert... »
Dans la même délibération, le périmètre de la villa des Bretaudières a également été révisé par l'architecte des Bâtiments de France, avec une prise en compte des paysages (ruisseau, vallon, boisement) et une exclusion des zones de bâti sans intérêt patrimonial ni visibilité avec le monument.
Ces deux nouveaux périmètres seront soumis à enquête publique dans le cadre du PLU (plan local d'urbanisme) et, à son issue, une nouvelle délibération sera présentée au conseil municipal pour approbation définitive.


Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
     
 

Les acquisitions foncières pour la contournante sont bouclées - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

jeudi 19 septembre 2013

Florence Le Coz (à gauche) a présenté les délibérations pour les dernières acquisitions foncières.


« Les travaux pour la deuxième tranche de la voie de contournement sud vont pouvoir reprendre... » Lundi soir, le conseil municipal a débuté sa séance par la finalisation des cinq acquisitions foncières qu'il restait à conclure pour poursuivre les travaux de la contournante sud du bourg.
« Ce projet a démarré en 1982, a rappelé le maire, Monique Rabin. Au cours de ces cinq dernières années, nous avons pu acheter l'ensemble des terrains sur l'emprise future du contournement de Saint-Philbert. » D'après la première magistrate, « toutes les terres ont été acquises au même prix en fonction de leur catégorie, ce qui représente pour la commune un gel financier de 394 300 €, dans l'attente d'être potentialisé. »
Les acquisitions étant faites, les travaux vont pouvoir maintenant être engagés par le conseil général. « Ils débuteront par le giratoire, qui se situe route de Saint-Colomban, a précisé Claude Denis, conseiller municipal délégué aux transports. Dans quelques semaines, l'Inrap entamera les fouilles archéologiques préventives. » À terme, ce giratoire permettra aux cars scolaires d'accéder au futur collège public.
Pour Stéphan Beaugé, conseiller d'opposition, cette contournante « apportera confort et sécurité en permettant notamment aux automobilistes de ne pas passer par le bourg. » Il a également souligné le coût global de ce projet de contournement « de plus de 8 millions d'euros, qui, avec l'échangeur de Viais (6 millions) et la finalisation de la 2X2 voies (32 millions), montre d'un point de vue pédagogique au contribuable que les coûts sont importants et qu'on ne peut pas faire tout, tout de suite... »
Par ailleurs, le long de cette contournante, l'aménagement de pistes cyclables a été réservé sur les emprises foncières de la commune. « D'autres liaisons douces, piétons-vélos, sont également à l'étude avec le conseil général, a indiqué Florence Le Coz, adjointe au développement du territoire. L'idée serait d'utiliser l'ouvrage qui enjambera le ruisseau du Verger pour passer sous la contournante et pouvoir ainsi rejoindre le bourg à partir des villages. » Les délibérations pour les cinq acquisitions ont été adoptées à l'unanimité.

Une résidence jeunes travailleurs au Bignon en 2014 - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

samedi 14 septembre 2013

La commune du Bignon accueillera sur son territoire, en septembre 2014, une résidence jeunes travailleurs de dix-huit logements.


Démarrés en janvier dernier, les travaux de construction d'une résidence de jeunes travailleurs dans la commune du Bignon devraient être terminés en juillet 2014.
« La résidence sera mise en service en septembre 2014 », a confirmé Martin Legeay, maire du Bignon et président de la communauté de communes de Grand-Lieu, lors du dernier conseil communautaire, jeudi. « Elle comprendra dix-huit logements locatifs sociaux et sera gérée par l'Association pour l'habitat des jeunes en Pays de Grand-Lieu, Machecoul et Logne, basée à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu. »
La construction de cette résidence est financée à 80 % par des subventions de l'État, de la région et du département, de la Caisse d'allocations familiales, du Comité interprofessionnel du logement et d'une subvention d'équilibre, sollicitée auprès de la communauté de communes pour 147 140 € (50 % de la région et du département dans le cadre du contrat de territoire, 50 % en fonds propres).
« Nous sommes sur l'accompagnement du parcours du jeune en terme d'habitat, a précisé Florence Le Coz, adjointe philibertine au développement du territoire. Le foyer de jeunes travailleurs peut être un tremplin pour partir de chez soi, mais nous travaillons également en parallèle et plus largement à l'autonomie du jeune. »

L'abbatiale lève le voile pour les Journées du patrimoine - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 13 septembre 2013

De récentes découvertes montreraient que l'ancien cloître des moines de Déas se trouvait près du mur extérieur nord de l'abbatiale.


« L'abbatiale est mieux connue au Japon qu'elle ne l'est en France ! » Si cette réflexion de l'architecte du patrimoine, Pierluigi Péricolo, peut inviter à découvrir l'abbatiale lors des prochaines Journées européennes du patrimoine, elle montre surtout l'importance de ce joyau local dans le patrimoine national.
Au programme : ce vendredi 13 septembre, 20 h 30, abbatiale, soirée Kaléidoscope. Dix intervenants au profil hétéroclite (tailleur de pierre, historien, artiste, habitant etc.) croisent leur regard à partir d'une photo de l'abbatiale. Au fil des interventions, un nouveau visage de l'édifice se révèle au public. Gratuit.
Samedi 14, de 10 h 30 à 12 h 30 et de 14 h 30 à 18 h : visite libre du site. À 14 h 30 : visite commentée sur la naissance du site comme monument historique. À 16 h : visite commentée de la collection ornithologique Helmut Warzecha. Réservation conseillée. 20 h 30 : concert de trompes dans l'abbatiale. Gratuit. Dimanche 15, de 10 h 30 à 19 h, visite libre du site. De 14 h 30 à 18 h 30, départs réguliers de visites commentées. De 15 h à 18 h, démonstration des techniques de teinture végétale. Gratuit.
Contact. 02 40 78 73 88.

Un appel à candidature pour un marché bio sous la mini-halle - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

jeudi 05 septembre 2013

La Ville lance un appel à candidature pour la mise en place d'un marché bio.


« Ce qui est important pour nous c'est de créer de l'attractivité et d'amener une nouvelle clientèle dans le centre-ville, en complétant et en diversifiant l'offre commerciale dans ce secteur... » Autour de la table, ils sont quatre pour présenter l'appel à candidature autour de la mini-halle de la rue de la Paix : Florence Le Coz, adjointe à l'économie, Didier Billon et Colette Charier, respectivement adjoint et conseillère au développement durable, et Cédric Delaunay, chargé de mission « coeur de ville ». « Cet appel à candidature vise à promouvoir la dynamique commerciale du bourg par la création d'un marché bio, le mercredi soir. »
Située dans le secteur marchand de la place de l'église (une dizaine de commerces et 121 places de stationnements), débouchant sur la large voie de la rue de la Paix, la mini-halle couverte offre un espace très ouvert. « Ce marché doit apporter une dynamique nouvelle à la place de l'Église, poursuivent les responsables. Il doit être vivant, convivial, attractif et devra participer au développement de flux de clientèles dans ce secteur de la commune. »
Le lancement du marché est prévu pour le mercredi 2 octobre. « Cinq emplacements sont prévus, dont à terme, trois abonnés et deux passagers. » Ce marché aura lieu, hors manifestations comme, par exemple, la Fête de la musique, de 17 h à 20 h (19 h 30, l'hiver). Les produits biologiques pourront être des aliments, des vêtements, de l'épicerie, des plantes, des produits d'entretien, etc. Le marché sera géré par la Sogemar et deux à trois fois dans l'année une animation particulière sera proposée avec la possibilité de fermer la rue.
« Le dossier de candidature est téléchargeable sur le site internet de la commune : www.stphilbert.fr, rubrique, Économie et entreprise, puis, S'implanter à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu ».

Nous avons à ce jour, énormement de messages qui témoignent de la bonne tenue des conseils municipaux, nous voyons là une stratégie de communiciation en vu des municipales

Stéphan Beaugé : « Monique Rabin est inapte au dialogue » - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

jeudi 04 juillet 2013



La prise de bec entre la maire, Monique Rabin, et l'élu d'opposition, Stephan Beaugé, vendredi dernier, ne s'est pas arrêté à la séance du conseil. Ce mercredi, Stéphan Beaugé remet le couvert à travers un communiqué de presse au titre évocateur : « Le respect... c'est maintenant ! ».
Suite au départ, lors du dernier conseil, du groupe d'opposition (une première à Saint-Philbert), l'élu cantonal a dénoncé « l'attitude irrespectueuse et polémique de Mme Rabin, maire socialiste de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu. » Il revient sur sa demande de report de la séance, annoncée il y a deux mois, justifiée selon lui par ses obligations de conseiller général du canton dans trois assemblées générales d'associations le même soir.
« Mme Rabin a cru bon de polémiquer, elle qui ne va que rarement aux assemblées générales des associations ! Depuis cinq ans, Mme Rabin et les élus socialistes manquent de respect à l'opposition, pratiquent sans complexe une forme d'arrogance parfaitement assumée. Mme Rabin, malheureusement, est inapte au dialogue et gère cette commune comme un dictateur en jupon ! Nous demandons non seulement d'être respectés mais que les Philibertins réagissent et ne se laissent pas endormir par la municipalité. »
Le communiqué est cosigné du groupe Saint-Philbert avec vous (Stéphan Beaugé, Alain Vachon, Éric Guilbaud, Emmanuel Guillet, Muriel Guemas). Si le chemin est encore long d'ici au mois de mars, date des élections municipales, la campagne est semble-t-il bien lancée.

Quelle mascarade, Mr Beaugé avait de toute façon prévu de quitter le conseil, si entre son mandat de conseil général et de conseil municipal, il a du mal à assumer, rien de l'empêche de démissionner de l'un ou l'autre de ses mandats.

Les élus d'opposition quittent le conseil en début de séance - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

jeudi 04 juillet 2013



Vendredi soir, après la première délibération, votée pourtant à l'unanimité (voir O.-F. du 3 juillet), un échange pour le moins musclé entre Monique Rabin, députée-maire, et Stéphan Beaugé, conseiller d'opposition, a provoqué le départ du conseil des trois élus de l'opposition (sur cinq) présents ce soir-là. « J'ai bien noté que votre rôle d'élu était plus auprès des associations que dans votre responsabilité de conseiller municipal... », a relevé Monique Rabin en s'adressant à Stéphan Beaugé, alors que ce dernier se préparait à quitter le conseil, après le vote de la première délibération, pour se rendre à l'assemblée générale d'une association.
« Puisque vous abordez ce sujet, Mme Rabin, a répondu Stéphan Beaugé, je vous rappelle que j'ai formulé une demande il y a presque deux mois pour modifier la date de ce conseil, ce que vous avez refusé. » « Les dates sont prévues depuis novembre 2012, a répliqué la députée-maire. Vous n'êtes pas obligé de me croire, mais j'ai demandé aux services de regarder sérieusement si nous pouvions changer la date. Ce n'était pas possible cette semaine, les conseillers ayant des événements importants en soirée, ni la semaine prochaine puisque le compte administratif, pour des raisons légales, doit être voté avant le 1 er juillet et la délibération sur la représentation au sein de l'EPCI (Etablissement public de coopération intercommunale), que nous venons de voter, avant le 30 juin. » « Lors du mandat précédent, a ajouté l'élue, sur les 56 conseils municipaux, j'ai participé à 55 séances. Quand on est élu, cela devient un impératif absolu d'assister aux conseils, sauf quand on est malade ou en vacances. Mais, vous ne pouvez pas m'accuser de ne pas avoir tout mis en oeuvre pour vous permettre d'être présent. Les dates des conseils sont prévues suffisamment à l'avance et vous allez d'ailleurs avoir les prochaines pour les six mois à venir. » Suite à cette intervention, les trois élus de l'opposition ont quitté le conseil.

42 conseillers c'est beaucoup d'élus mobilisés à la comcom, J'ai défendu 37 pour donner 3 sièges à St Lumine et à la Limouzinière

 

Les conseillers rejettent la proposition de la CCGL - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mercredi 03 juillet 2013

Le conseil municipal de Saint-Philbert (ici, Claude Denis - avec le micro - qui a présenté le sujet au conseil, vendredi soir) a rejeté à l'unanimité la proposition du conseil communautaire de Grand-Lieu concernant la future composition du conseil en 2014.
Lors du dernier conseil municipal, Claude Denis, conseiller philibertin délégué à la communauté de communes de Grand-Lieu (CCLG), a présenté une délibération permettant de répartir le nombre de représentants par communes au futur conseil communautaire. « Cette délibération porte sur la composition du conseil communautaire qui sera renouvelé à l'issue des échéances municipales de 2014, a-t-il confirmé, en effet, la loi prévoit de nouvelles règles en matière de représentation des communes au sein des Établissements publics de coopération intercommunales (EPCI). »
L'EPCI concernant Saint-Philbert est la communauté de communes de Grand-Lieu. Actuellement, le total des sièges à la CCGL est de 30. La représentation future sera au minimum de 34. « Il s'agira de la répartition de base, a expliqué l'élu, elle sera appliquée en cas de désaccord entre les élus communautaires. » Deux autres possibilités s'offrent aux élus. La première prévoit de passer la représentation de 34 à 37 sièges, les trois sièges supplémentaires pouvant être répartis « sur les communes qui ont perdu des représentants ». La seconde, portant le nombre de sièges à 42.
« Cette proposition est celle qui est faite par le conseil communautaire, a précisé Claude Denis, mais si les huit sièges supplémentaires, dans ce cas, peuvent être répartis librement, cette proposition est moins juste que celle à 37 sièges qui, selon l'élu, est plus équitable. Parce qu'elle prend mieux en compte les populations et qu'elle permet un report des trois sièges supplémentaires sur les deux plus petites communes de l'intercommunalité. » À savoir Saint-Lumine-de-Coutais et La Limouzinière. « Je suis d'accord avec cette proposition à 37 représentants », a confirmé Alain Vachon, conseiller d'opposition, délégué titulaire à la communauté de communes.
Ont suivi dans le débat, des interventions sur « la nécessité d'associer les populations et notamment les associations » (Stéphan Beaugé, conseiller d'opposition), et sur « le besoin de partager les moyens entre les communes, comme la taxe foncière des entreprises, ce qui évite de se retrouver en concurrence, source du malaise que l'on peut vivre à la CCGL... » (Monique Rabin, députée-maire). Enfin, le conseil a regretté que « la question de la constitution du bureau ait été déconnectée de celle du conseil communautaire 2014, le bureau étant, on le sait, le nerf de la guerre ! » La répartition à 37 sièges a été votée à l'unanimité.

bonne retraite à Christiane

Christiane Boucard part à la retraite - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 28 juin 2013

Christiane Boucard a fêté son départ en retraite avec les élus et ses collègues.


Beaucoup de Philibertins connaissent Christiane Boucard. Ne serait-ce que parce qu'en 2008 et au début de cette année, elle a suivi le recensement de la population. Lundi, élus et collègues fêtaient son départ en retraite.
« J'ai commencé mon activité professionnelle en travaillant chez Micmo, s'est-elle souvenue, puis j'ai travaillé dans le secrétariat de l'entreprise de meubles, Bonin, à Challans... » Elle alterne ensuite les emplois dans différentes entreprises, avant de rentrer au centre de gestion des collectivités locales. Elle est alors envoyée, en janvier 2004, à la mairie de Saint-Philbert, pour remplacer durant trois ans Nathalie Boucard, pour un congé maternité et parental. Elle sera ensuite, en 2007, stagiaire adjoint administratif deuxième classe et sera titularisée un an plus tard. En 2011, elle passe avec succès son examen professionnel d'adjoint administratif première classe et sera nommée dans ce grade en juin de l'année dernière. Durant ses emplois à Saint-Philbert, elle travaille à l'urbanisme, devient, d'après ses collègues, « une spécialiste des sigles ». « Merci pour l'accueil que vous avez toujours su témoigner au public, a souligné Monique Rabin, députée-maire, à cette grande conscience professionnelle que vous avez toujours montrée et à votre grande gentillesse. »
Christiane Boucard sera en retraite le 1 er juillet.


Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
mai 2013 - Juin 2013 - juillet 2013      
 
 

Beau travail de l'équipe de l'office

L'office de tourisme agrandit son espace d'accueil - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

lundi 01 juillet 2013

Marielle Bretagne, Béatrice Paul et Florence Le Coz dans le nouvel espace.


Depuis fin mai, l'accueil de l'office de tourisme a changé de place. « Ce qui est important quand les gens arrivent, c'est d'avoir un accueil de qualité et donc un endroit spacieux et agréable », explique Florence Le Coz, adjointe au tourisme. Situé à l'entrée de la salle du Chauffoir, le nouvel accueil dispose d'un espace trois fois plus grand. « Le service, en lien avec le conseil d'exploitation de l'office, a souhaité travailler sur le réaménagement de ses espaces, précise l'élue, un projet que nous développons dans le cadre du Plan qualité tourisme, qui impose une exigence de capacité d'accueil ainsi qu'une accessibilité à tous. » Des travaux d'accessibilité qui nécessiteront des sondages préalables, site classé oblige.
« Avec ce transfert de l'accueil, nous avons pu donner une place bien distincte à chaque espace », souligne Marielle Bretagne, hôtesse de l'office avec Béatrice Paul. La boutique met mieux en valeur les produits locaux. La librairie évolue en fonction des expositions et des produits dérivés, comme des objets personnalisés à l'effigie de la ville ou du site de l'abbatiale (tasses, magnettes, porte-clés, marque-pages, etc.) seront prochainement mis en vente à l'accueil.
Office de tourisme de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, site de l'abbatiale, tél. 02 40 78 73 88.


Saint-Philbert-de-Grand-Lieu
juin 2013 - Juillet 2013 -