Le cimetière sera bien accessible pour la Toussaint - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 12 octobre 2012

Sylvain Bureau, devant la rampe d'accessibilité au cimetière, confirme que « les travaux seront bien terminés comme prévu pour la Toussaint. »


Trente mètres linéaires de montée qui aboutissent à une hauteur de deux mètres par rapport au niveau de la route, un palier à mi-parcours pour se reposer, un potelet et des bandes pododactiles pour les malvoyants à l'entrée de l'enceinte... la rampe pour l'accessibilité du cimetière pour les personnes à mobilité réduite, démarrée début septembre, sera terminée pour la Toussaint.
« On est en avance sur le planning, estime Sylvain Bureau, adjoint aux solidarités, ce projet était un engagement de notre campagne et j'avais promis, à titre privé à une personne âgée de la Résidence de l'Île Verte, que je l'accompagnerais au cimetière, à la Toussaint ! » Le projet est d'ampleur. « Il ne pouvait pas être réalisé, côté nord, pour des questions de pente, explique l'élu, il a fallu aussi créer un réseau de récupération des eaux de pluie jusque-là inexistant. »
L'entrée, côté sud, a été élargie et les allées intérieures principales, qui permettent de faire le tour du cimetière, ont été agrandies et enrobées, « pour permettre l'accès aux petits engins des entreprises de pompes funèbres ». La rue de la Cure, qui fait le tour du cimetière par le sud (côté cinéma) est désormais en sens unique et des places de stationnement seront aménagées dans la descente de cette rue. « Nous avons prévu deux places PMR (personnes à mobilité réduite), en bas de la rampe et nous matérialiserons un cheminement piéton, le long de la rue. »
Coût de l'opération : 150 000 €, dont 50 000 € pour la rampe, 50 000 € pour le traitement des eaux pluviales et 50 000 € pour les aménagements complémentaires

Conseil des sages : le projet est sur les rails - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

jeudi 11 octobre 2012

Paul Desveronnières et Sylvain Bureau (1er rang), Marie Le Thiec et Joël Verger (au second) ont présenté, lundi, le projet de création d'un Conseil des sages.


Le Conseil des sages, qui permet aux retraités philibertins de participer à la vie de la cité, est prêt à voir le jour. « Nous avons voulu inscrire l'assemblée générale constitutive de ce Conseil des sages dans le déroulement de la Semaine Bleue », a annoncé, lundi, Paul Desveronnières, premier adjoint. Accompagné de Sylvain Bureau, adjoint aux solidarités, de Joël Verger, conseiller délégué à la communication, et de Marie Le Thiec, chargée de mission pour la démocratie participative et référente de ce Conseil des sages, il a présenté les enjeux de ce nouvel outil de démocratie locale.
« Nous avons noté l'intérêt de nombreux retraités de participer à la vie de la commune, a poursuivi Paul Desveronnières. Des Philibertins qui ont des compétences, de l'expérience, une mémoire et un savoir-faire qui peuvent être mis au service des concitoyens dans de multiples domaines. » Le rôle de ce conseil sera « d'apporter à la collectivité un autre éclairage sur les projets de la Ville et sur la vie communale. »
Tous les dossiers pourront être concernés et plus particulièrement les questions touchant les aînés de la commune et les relations intergénérationnelles. Il sera composé de 21 membres, répartis, si possible, entre les sept bureaux de vote de la commune, et sera ouvert aux « Philibertins, à partir de 60 ans, libérés de toute activité professionnelle et non présidents d'associations philibertines, pour éviter, précise l'élu, les éventuels conflits d'intérêt sur les dossiers qui seront traités. »
On peut encore s'inscrire
Les membres du conseil seront désignés, lors de l'assemblée constitutive du jeudi 18 octobre, à 16 h 30, à la salle du Marais. « Les candidatures sont volontaires, insiste Paul Desveronnières, un tiers des membres sera élu par l'assemblée constitutive, un autre tiers, par tirage au sort, et le dernier tiers sera désigné par le maire, ce qui se fait généralement dans toutes les communes qui ont mis en place un conseil des sages. » L'idée étant que toutes les composantes de Saint-Philbert soient représentées.
Le Conseil des sages sera présidé par le maire qui désignera un élu référent pour y représenter la commune. Il est encore possible de présenter sa candidature jusqu'à la date du 15 octobre.
Informations en mairie ou sur www.stphilbert.fr

Tourisme : une saison en demi-teinte - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mercredi 10 octobre 2012

Les responsables du tourisme philibertin rebondissent sur une saison 2012 en demi-teinte pour développer l'offre et mettre en place de nouvelles perspectives pour la prochaine saison.


La saison touristique vient juste de se terminer. Le bilan en demi-teinte oblige à développer des projets pour l'année prochaine.
Une courbe de fréquentation parallèle à celle de la météo, avec une particularité cette année : un comportement touristique difficile à anticiper, avec des séjours plus courts, organisés à la dernière minute. « Il semble, expliquent Florence Le Coz et Mathilde Angelvy, respectivement adjointe et directrice du tourisme, que les estivants cherchent plus un style de vacances avec des activités précises qu'un lieu de destination. » Des estivants qui partent moins loin, beaucoup de vacanciers venant de Loire-Atlantique et de Vendée. Les « Balades au fil de l'eau », qui mènent à la découverte de la Boulogne, sont en forte hausse en 2012. La base de loisirs, avec sa nouvelle aire de beach et qui propose de nombreuses activités (swin golf, tir à l'arc, trampoline, centre équestre, voile, pêche, visites natures) a connu une excellente fréquentation. Beau succès pour les Estivales : plus de 1 500 personnes ont assisté aux sept spectacles offerts par la Ville, chaque samedi soir de l'été.
Ces données amènent à mettre en place d'autres animations.
Accent sur les sentiers pédestres
« Nous allons rééditer et mettre à jour la carte des sentiers pédestres de la commune, annoncent les deux responsables. Ce travail se fait avec les membres de l'association Les Chemins de rando philibertins, qui sont à l'origine de ce projet et participent activement à la mise en valeur de ces sentiers. » En partenariat avec le Pays de Grand-Lieu, et Machecoul et Logne, va être mis en place l'itinéraire de sentiers pédestres (avec une partie cyclo et équestre), autour du Lac de Grand-Lieu. Tout devrait être prêt pour l'été 2013.
Un « Phil'tour » va être créé. « Les hébergeurs pratiquent, en amont de la saison, les activités touristiques locales. Ils vont ainsi devenir relais de communication ». Un groupe de travail va regrouper les acteurs du tourisme local, notamment ceux liés à la base de loisirs. Un autre, baptisé « Itinérance », fera le lien entre les Balades au fil de l'eau et toutes les thématiques locales liées à l'eau. Le partenariat entre l'office de tourisme et commerces va être développé, et la collaboration avec les communes proches comme Legé, Machecoul, Bourgneuf, accentuée.

Swin-golf : la France remporte le trophée de l'Europa cup 2012 - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mardi 02 octobre 2012

En marge de la compétition, les visiteurs ont pu s'initier au swin-golf, beach-volley ou speedminton avec les bénévoles des clubs de St Philbert.


Au terme de deux jours de compétition accueillant 180 joueurs de swin-golf à Saint-Philbert, le trophée Europa cup 2012 a été remporté par l'équipe de France devant l'Allemagne, la Suisse, l'Autriche et la Belgique. Le swin-golf est une variante du golf avec une seule canne qui se pratique sur des parcours rustiques de 9 à 18 trous. Parmi les compétiteurs français, deux adhérents du club philibertin se sont distingués dans leur catégorie : Jacques Renard et Jean-Louis Jayet.
Le club local organisateur de l'événement a reçu le soutien du conseil régional, du conseil général, de la municipalité de Saint-Philbert, de la fédération française de swin-golf, de sponsors locaux et de parrain et marraine sportifs de haut niveau : Muriel Hurtis, double championne du monde et médaillée olympique en athlétisme et Thierry Godineau, champion européen de handigolf. Tous deux sont venus encourager les participants et ont participé à la remise des prix.
Christian Henry, président du club Grand-Lieu swin-golf qui compte une cinquantaine d'adhérents, était ravi d'avoir pu faire découvrir ce sport : « Le public est aussi venu en nombre. La France ne compte que 25 clubs en compétition et environ 150 terrains de swin-golf, mais ceux-ci ne sont pas tous homologués. L'organisation d'événements comme celui-ci est important pour nous faire connaître. »
L'Europa cup a visiblement fait des émules puisque dès le lendemain, les familles sont venues nombreuses s'essayer au swin-golf dans le cadre du salon du sport organisé parallèlement à la compétition : après avoir appris les rudiments du sport, ils ont même pu se confronter aux autres débutants à travers un concours amateur.
Les visiteurs ont également pu s'initier au speedminton, badminton au volant lesté pouvant se jouer en extérieur avec les bénévoles du Grand Lieu Badminton Loisirs et au beach-volley avec le club St Philbert Volley Loisirs. Malheureusement, les autres animations prévues (ultimate, équitation, tir à l'arc et marche nordique) ont été annulées du fait de désistement des encadrants. Annulée aussi la bourse au sport faute de participant.

Ouverture de la Ludothèque, un espace dédié aux jeux et jouets - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mercredi 19 septembre 2012

Geoffrey Bourgine (ici, à gauche, avec Pierre Pancheret, le directeur de l'Apej) est ludothécaire et animera la nouvelle ludothèque municipale, Ludo DéAs.


Depuis un peu plus de cinq ans, l'Association philibertine enfance jeunesse (Apej) mène, conjointement avec la Ville, et notamment dans le cadre du Projet éducatif local, diverses actions autour du jeu : Fête nationale du jeu, Après-midis ludiques, Ateliers de construction de jeux en bois, etc. En juin 2009, la municipalité missionne l'Apej pour mener à bien une réflexion pour la création d'une ludothèque. Un groupe de réflexion, composé d'habitants, de salariés de la Ville et de l'Apej, se met au travail et propose la création d'une ludothèque destinée à l'ensemble de la population. Elle s'appellera, Ludo DéAs.
Animations et rencontres
Installée dans une des salles de la Communauté Saint-François, Ludo DéAs est un espace dédié aux jeux et aux jouets. On y pratique le prêt de jeux ou le jeu sur place. Tout le monde peut venir y jouer sans être obligé d'adhérer à l'association. « Ludo DéAs, explique Pierre Pancheret, directeur de l'Apej, se définit comme un espace culturel, une structure socio-éducative, un lieu d'animation autour du jeu et du jouet, ouvert à tous. C'est aussi, un lieu de rencontres intergénérationnelles et interculturelles autour du jeu et du jouet. » Des espaces, « Jeu sur place », ont été aménagés, et le prêt et la location de jeux, pour un nombre déterminé d'emprunts, sont possibles dans le cadre d'une adhésion. Des jeux surdimensionnés sont proposés sur le site, ainsi que des animations au cours de l'année.
Pour animer la ludothèque, la Ville a recruté, en mai dernier, Geoffrey Bourgine, ludothécaire, qui a passé sa licence, jeux et jouets, à Cholet. « Pour finir l'installation et tenir les permanences, invite Pierre Pancheret, la ludothèque recherche des bénévoles. Cela permettra aussi à Geoffrey d'animer la ludothèque... »
Ludothèque, Ludo DéAs, Communauté Saint-François, ouverture, en périodes scolaires : mercredi, de 10 h à 13 h et de 14 h 30 à 17 h 30, vendredi, de 9 h 30 à 12 h 30 (accueil groupes), et une fois par mois, de 20 h à 22 h, pour une soirée jeux, samedi, de 10 h à 13 h, et deux fois par mois, de 15 h à 18 h. Durant les vacances scolaires : mercredi, jeudi et vendredi, de 10 h à 13 h et de 14 h 30 à 17 h 30. Inauguration de la Ludothèque, « Ludo DéAs », samedi 6 octobre. Renseignements au 02 40 78 85 87, http://www.apej44.fr

Il prend sa retraite après 21 ans à la tête de la Cuma - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mercredi 12 septembre 2012

Gérard Amiand entouré de Michel Forcier, à gauche et Jean-Luc Clavier.


Gérard Amiand est en retraite depuis le 1 er juillet dernier, après 21 années à la direction de la Cuma de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu. C'est Michel Forcier qui lui succède. Pour le remercier, ses collègues ont organisé la première journée portes ouvertes de l'histoire de la Cuma, vendredi dernier, réunissant adhérents et partenaires de la structure.
L'occasion aussi pour son président, Jean-Luc Clavier, de retracer le parcours du directeur. « Malgré les aléas climatiques, les soucis mécaniques, les relations parfois tendues avec les adhérents ou les fournisseurs, Gérard a toujours su garder un calme, une gentillesse et une diplomatie à toute épreuve. »
Un parcours sur lequel Gérard Amiand a bien voulu revenir. « Je suis arrivé en septembre 1990, rappelle-t-il, et si le nombre d'adhérents n'a pas beaucoup bougé, depuis cette date, le matériel en revanche a beaucoup évolué. Par exemple, à l'époque, nous faisions deux millions de francs de chiffre d'affaire. Aujourd'hui, nous faisons plus de deux millions d'euros ! »
En 1990, Gérard Amiand est le septième employé de la Cuma. Ils sont aujourd'hui 18 à travailler dans la structure. La Cuma fonctionne sur la base d'un capital social, apporté par ses adhérents, et ses services vont de la simple utilisation de matériel à la réalisation de l'ensemble des travaux sur une exploitation par les employés de la structure.
Et pour la retraite ? « Je ne suis pas inquiet, s'amuse le retraité. Je fais beaucoup de jardinage, de marche à pied. Et avec la famille, les relations, je ne m'ennuierai pas

Fa Si La Danser fête ses 10 ans en musique - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mardi 11 septembre 2012

L'associationFa Si La Danser a fêté en musique ses 10 ans au 8e Forum des associations, organisé samedi par la Ville autour de l'abbatiale.


À l'occasion du 8 e Forum des associations philibertines, qui a réuni, samedi, autour de l'abbatiale, près d'une soixantaine d'associations locales, la municipalité a rendu hommage à l'association Fasila Danser, qui fête cette année ses 10 ans d'existence.
« À l'origine, explique Bernard Hervouet, le vice-président de Fasila Danser, l'association faisait partie de Retz'Création, une association qui réunit de nombreuses activités de loisirs. » Présidée jusqu'à l'année dernière par Jean-Louis Bouyer, Fasila Danser a aujourd'hui, à sa tête, Michel Baudouin, président, et Bernard Hervouet. Forte de 200 adhérents, l'association propose six cours par semaine, ouvre chaque année un cours pour débutants et rayonne sur La Limouzinière, Saint-Colomban et Saint-Philbert.
Les activités de l'association reprennent le 17 septembre, toujours avec le même professeur : Mickaël Coeslier. Pour célébrer les 10 ans de Fa Si La Danser, la municipalité a offert une énorme brioche au public du Forum. « C'est aussi une façon de rendre hommage à toutes les associations philibertines, annonce Nicole Clavier, adjointe à la vie associative, elles sont très présentes pour animer la commune... Par exemple, à la fin du mois, l'association, Grand-Lieu Swin-golf, organise l'Europa Cup, qui réunira 200 joueurs de six pays ! »
Fa si la Danser : tél. 02 40 78 80 58 ou http://fasila.pagesperso-orange.fr

Abbatiale : les archéologues révèlent une partie de ses mystères - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 31 août 2012

Archéologues, historiens, responsables du site et élus devant une des sépultures qui ont été découvertes, cet été, dans la cour du Prieuré.


Courant juillet, des fouilles ont été entreprises sur le site de l'abbatiale. Dans la cour du Prieuré, deux sépultures ont été découvertes, mais pas de traces du cloître dans cette partie du site. Une hypothèse retenue dont le démenti provoque d'autres réflexions. Petit panorama, avec les acteurs du site, de la démarche engagée par la Ville pour lever le voile sur cette mystérieuse « Dame abbatiale ».
Rappel
L'abbatiale est un édifice clé du haut Moyen Âge en Europe. Quelques sites à l'état de vestiges sont connus à travers l'Europe, mais très peu de sites ont la chance de présenter à la vue un tel monument en élévation. Elle est donc un sujet d'étude important pour les archéologues et historiens qui s'intéressent à l'édifice comme « partie d'un tout ».
Afin de comprendre cette architecture et d'en assurer un entretien et une mise en valeur, il est nécessaire de l'imaginer dans le contexte d'un ensemble d'espaces bâtis et jardins, « lieu de vie d'une communauté de moines ».
Le projet
Afin de travailler à la fois sur l'entretien du bâti (charpente, murs et couverture) et les aménagements du site (accessibilité, salle d'exposition, parcours de découvert...), la Ville organise un dialogue constructif entre archéologues, architectes et historiens afin que la recherche scientifique, la conservation du patrimoine et les connaissances progressent ensemble.
Les fouilles
Elles ont apporté des réponses aux interrogations des acteurs du site. La découverte de deux sépultures confirme la datation du monastère dans la période du haut Moyen Âge. La révélation de l'existence d'une porte monumentale indique qu'elle pourrait être la « porte des morts », qui reliait l'abbatiale au cimetière des moines.
Les nouvelles hypothèses
Le cloître d'origine se trouvait-il au sud du monument, suivant en cela les indications théoriques proposées par le plan d'un « monastère idéal » que Charlemagne a fait diffuser à travers l'Europe ? L'absence de traces de bâti sur le rocher, dans le jardin au nord de l'abbatiale, indiquerait-elle que le cloître du IX e siècle aurait été complètement démonté afin de récupérer toutes les pierres pour d'autres constructions ? Le jardin du cloître aurait-il été déplacé au cours du Moyen Âge du sud au nord, la présence d'un cloître au nord étant indiquée au XVIII e siècle dans des textes ? Autant de questions qui ont animé la réflexion des archéologues du Centre d'étude médiéval d'Auxerre.
Et maintenant ?
Le dialogue entre historiens, archéologue et architecte est bien établi et va se poursuivre par de nouveaux sondages coïncidant avec l'enlèvement de végétaux, qui nuisent à l'assainissement du monument. Ces nouveaux sondages se situeront au sud, entre l'Abbatiale et la salle de l'Abbatiale, à un endroit d'où émergent des pierres, comme la naissance d'un ancien mur.
D'autres recherches concerneront le sarcophage lui-même qui n'a pas tout révélé de son origine et de son positionnement initial. Par la comparaison avec d'autres sites, la relecture et la reprise des plans de l'abbatiale, l'étude et l'analyse au carbone 14 de certaines maçonneries, les différentes hypothèses seront réétudiées afin de mieux comprendre comment les hommes occupaient et se déplaçaient dans ses espaces.
Échéances
Suivies par les services archéologiques de l'état, ces recherches se développeront début 2013. En attendant, les travaux de restauration de la façade de l'abbatiale se dérouleront à la fin de l'automne

Pour leur dernière séance, les Estivales font leur « cinoche » - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 17 août 2012




La dernière soirée des Estivales de Grand-Lieu, ce sera samedi. Après La Patrouille de France à pied, la fanfare Radio Thrakia, le cueilleur de son, Wan, et le duo vocal, Olli & Mood, après Gadji, Manon, Desrose et l'inoubliable Carte blanche au Monde des Barons perchés, le festival d'été philibertin se déplacera au Plan d'eau de la Boulogne pour une projection en plein air sur grand écran.
« Nous projetterons le film Camping 2, annoncent les organisateurs. Et comme toutes les soirées des Estivales qui sont offertes par la municipalité philibertine durant l'été, la séance sera gratuite ! »
Samedi 18 août, à 21 h 30, Cinéma de plein air au Plan d'eau de la Boulogne (repli à 22 h 30 au cinéma en cas d'intempérie) : projection du film Camping 2, de Fabien Onteniente, en partenariat avec l'association Cinéphil. Gratuit. Bar et grignotages sur place. Renseignements au 02 40 78 73 88.

Tourisme : les visites d'exploitations reprennent jeudi - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mercredi 25 juillet 2012

L'office de tourisme et la Ville, en partenariat avec des exploitants philibertins, proposent une manière originale  de découvrir la région : visiter les caves et les exploitations agricoles, maraîchères ou laitières de la commune.


Une façon originale de découvrir une région, en plus de ses monuments et sites prestigieux, c'est d'aller visiter son terroir. C'est l'idée que les responsables de la Ville et de l'office de tourisme de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, en partenariat avec des exploitants de la commune passionnés par leur métier, développent depuis quelques années.
Des visites d'exploitations durant l'été sont proposées. « La première visite aura lieu jeudi prochain, expliquent les responsables de l'office de tourisme, avec la découverte d'une cave au domaine de l'Aujardière, chez Éric et Gaëlle Chevalier. »
Le rendez-vous est fixé à 10 h, à l'office de tourisme. « Attention, l'inscription est obligatoire ! », insistent les responsables. Ils se réservent d'ailleurs le droit d'annuler une visite en cas de nombre insuffisant de participants.
« Il y aura sept visites au total cet été. Elles auront lieu tous les jeudis jusqu'au premier jeudi du mois de septembre. » Au programme : visites de caves, exploitations agricoles, maraîchères ou laitières...
Au programme : Jeudi 26 juillet, visite de cave, au domaine de l'Aujardière, chez Éric et Gaëlle Chevalier. Jeudi 2 août, visite de cave, au domaine des Bretaudières, chez Sylvain Gobin.Jeudi 9 août, visite agricole de l'Earl Clavier.Jeudi 16 août, visite d'exploitation maraîchère de l'Earl du Lac et de l'Earl du Guinèvre.Jeudi 23 août, visite horticole, chez Joseph Recoquillé.Jeudi 30 août, visite d'exploitation maraîchère, chez Christian Musset.Jeudi 6 septembre, visite de cave, chez Didier Hervouet. Les rendez-vous ont lieu, tous les jeudis, à 10 h, à l'Office de tourisme de Saint-Philbert. Inscriptions obligatoires. De 2 à 3 € (gratuit pour les enfants accompagnés). Inscriptions et renseignements au 02 40 78 73 88/tourisme@stphilbert.fr

Ségolène Orjebin se qualifie pour les France sur 800 m - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mardi 17 juillet 2012

Ségolène Orjebin, ici, en plein effort, s'est qualifiée pour les finales du championnat de France, le week-end dernier, à Reims.


Ce week-end, Ségolène Orjebin a représenté l'Athlétic Retz Sud Lac au championnat de France sur piste. Elle y a disputé le titre du 800 m avec vingt-trois autres espoirs de clubs nationaux.
« Il s'agit de jeunes de 20 à 22 ans, explique Dominique Gilet, le président de l'AR Sud Lac, et pour Ségolène, c'est la troisième année de suite qu'elle se qualifie pour les France sur les distances du demi-fond, 800 m et 1 500 m. »
À Reims, l'objectif de Ségolène était de se qualifier pour la finale et de tenter d'améliorer son meilleur chrono de 2 min 18' et 63''. Si elle n'est pas parvenue, dimanche, à se qualifier pour la finale, elle a cependant frôlé son propre record, en avalant le 800 m en 2 min 18' et 73''. Soit à seulement 10 centièmes de son meilleur chrono, mais surtout dans des conditions météos défavorables (vent).
« Une très bonne performance pour une première année « Espoirs », se félicite le président, d'autant qu'il lui reste deux ans dans cette catégorie pour progresser sur ces distances de demi-fond. »
Rendez-vous mercredi prochain avec Ségolène Orjebin pour une dernière course de saison, nationale et interrégionale, à La-Roche-sur-Yon. La reprise se fera avec un grand rendez-vous, en octobre, où Ségolène Orjebin a été sélectionnée pour représenter les Pays de la Loire, lors d'un match interligues, à Cholet, sur 10 km.
Côté AR Sud-Lac, deux jeunes autres compétitrices en vue du club, Manon Daguin et Agathe Gilet, ne sont pas parvenues à se qualifier pour le championnat de France, à Reims. « Elles ont eu d'autres préoccupations, cette année, précise Dominique Gilet, le bac et le permis de conduire... » Mais pour le président, ce n'est que partie remise. « Ce sera pour l'an prochain », a-t-il assuré

Enfance jeunesse : V. Thauvin nommée présidente - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 13 juillet 2012

Véronique Thauvin est la nouvelle présidente de l'Apej.


L'Association philibertine enfance jeunesse, qui a tenu son assemblée générale, le 22 juin dernier (voir Ouest-France du 29 juin), vient d'élire son bureau. Il est composé de Véronique Thauvin, présidente, de David Kerdaffret, vice-président, Sophie Mathey, trésorière, et Karine Le Pennec, secrétaire.
Contact. Apej, rue de l'Abreuvoir. Tél. 02 40 78 99 71 ou apej@saintphilbertdegrandlieu.fr.

Jardins familiaux de la Fontaine : une soirée pour se rencontrer - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mardi 10 juillet 2012

Les jardiniers des Jardins familiaux de la Fontaine, se sont retrouvés sur le site de la rue de Verdun pour une rencontre conviviale et un temps d'échange sur leurs cultures, la taille des tomates et des melons.


La semaine dernière, les jardiniers de l'association, Les Jardins de la Fontaine (1), se sont retrouvés sur le site des Jardins familiaux pour une soirée d'échanges. « La demande est venue de quelques jardiniers de l'association, explique Monique Herbreteau, secrétaire des Jardins de la Fontaine, tout le monde a trouvé l'idée intéressante et cela nous a permis de nous connaître un peu mieux, car nous n'avons pas les mêmes horaires et nous ne nous rencontrons pas toujours sur le site. »
Le groupe de jardiniers est composé d'une quinzaine de membres auxquels s'ajoutent des patients du Centre médico-psychologique de Bouguenais. « Les conjoints des jardiniers et leurs enfants étaient présents à cette rencontre, poursuit Monique Herbreteau, et quelques cours de taille de tomates et de melons ont été donnés. »
Depuis peu, le jardin est équipé d'un composteur, les barrières ont été refaites par les jardiniers ainsi que des bacs pour les personnes à mobilité réduite. Deux cuves de 1 000 litres ont été installées pour l'arrosage et une cabane de jardin devrait voir le jour avant l'automne.
(1) Née en février dernier, dans le cadre d'une convention avec la municipalité pour la création de jardins familiaux dans la commune, l'association est installée sur un terrain de 700 m², rue de Verdun. Le projet devrait à terme se développer ou migrer dans une parcelle municipale, située dans le quartier des Grenais, près du futur collège public

Duarib, soixante années au sommet de l'échafaudage - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

lundi 09 juillet 2012

Les salariés de Duarib ont fêté, vendredi, les 60 ans de l'entreprise, créée en 1952 par André Biraud, une personnalité philibertine exceptionnelle, à la fois philanthrope et inventeur prolifique.


« Duarib est né du rêve d'un homme exceptionnel : André Biraud. Philanthrope et inventeur prolifique, il s'employait à mettre son talent au service de ses concitoyens. De multiples et incroyables machines virent le jour dans son modeste atelier de serrurerie, situé au coeur de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, mais toutes devaient améliorer le quotidien des hommes et femmes de son époque... »
Le site Internet de l'entreprise Duarib (1) introduit ainsi l'épopée remarquable d'André Biraud et de son atelier de serrurerie des années après-guerre. 60 ans après sa création, il est devenu aujourd'hui, au sein d'un groupe, une entreprise internationale et une référence en matière d'échafaudages.
Vendredi, les 86 salariés de l'entreprise philibertine se sont retrouvés sur le site pour fêter les 60 ans de la société. « Aujourd'hui, explique Christophe Aubry, directeur de Duarib, et Christophe Vinsonneau, président du groupe, l'entreprise Duarib fait partie du groupe CDH, qui réunit trois entreprises : Centaure, Duarib et Haemmerlin, sur trois sites de fabrication différents. »
Duarib, pour les échafaudages, Centaure, pour les échelles, escabeaux et marchepieds, et Haemmerlin (Saverne, Alsace), pour les brouettes, diables, tréteaux. « Les trois sociétés ont chacune leurs filiales à l'étranger, poursuivent les deux responsables : Angleterre, Hongrie et Russie. » Le groupe totalise 400 salariés. 80 % de ses activités sont en France et 20 %, à l'export.
Pour cet anniversaire, les salariés de Duarib ont invité les autres membres du groupe à visiter leur entreprise et à se retrouver tout au long de la journée. « L'entreprise développe de nouveaux projets, indiquent les deux responsables, notamment en lançant, dès septembre prochain, un nouvel échafaudage : le Docker, tout aluminium, réunissant tout le savoir-faire Duarib. »
Le groupe vise également le développement de son activité export, en vendant ses produits dans la Péninsule arabique, l'Afrique du nord et l'Afrique noire, ainsi que dans les pays de l'Est, en Ukraine et en Russie.
(1) Duarib, anagramme de Biraud.

Mireille et David Giroux créent leur Amap à Saint-Philbert - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

samedi 07 juillet 2012

Mireille et David Giroux lancent leur Amap qu'ils ont appelé l'Amap des Quatre Saisons, à la Roussière, à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, où ils exploitent trois hectares en biodynamique.


Trois questions à...
Mireille et David Giroux, agriculteurs biologiques à la Roussière.
Pouvez-vous rappeler ce qu'est une Amap ?
Le mot, « Amap », signifie Association pour le maintien d'une agriculture paysanne. L'idée est de favoriser l'agriculture paysanne et biologique et de créer un lien direct entre paysans et consommateurs. Pour que cela fonctionne, les adhérents de l'Amap s'engagent à acheter, en général sur une période d'un an, la production de l'agriculteur à un prix équitable. Cela garantit l'emploi pour le producteur et la qualité pour l'acheteur. Dans la pratique, nous proposons aux adhérents de l'Amap, chaque semaine, un panier constitué de légumes de saison. Nous pouvons aussi répondre à des demandes ponctuelles de paniers, hors Amap, mais il faut que la commande soit passée avant le mercredi soir. Ce qui nous intéresse aussi, c'est que les gens voient comment on travaille. En biodynamique, avec les purins de plantes, les huiles essentielles, la lune, selon qu'elle est montante ou descendante, et par association de plantes.
Pouvez-vous décrire le contenu d'un panier ?
Il y a deux types de paniers. Un petit à 12 € et un grand à 15 €. Par exemple, en ce moment, celui à 12 € peut être composé d'un kg de fèves, de deux salades, d'un kg de courgettes, de quatre poivrons, d'un kg de petits pois, d'un kg de pommes de terre nouvelles et de 500 g de fraises. On peut varier avec une botte d'oignons ou une autre variété, voire mettre un peu plus en quantité. Il faut savoir que sur l'année, on propose au moins une cinquantaine de variétés de légumes et l'hiver, pas moins de 32 variétés. L'idée est aussi de ne pas revenir toujours sur les mêmes goûts d'un panier à l'autre. L'Amap peut aussi intéresser des gens qui ont un jardin mais qui ne font pas tous les légumes ou qui en ont moins l'hiver, par exemple.
Des projets à organiser ?
Oui, nous organisons, en septembre pour les « amapiens », une visite de l'exploitation sur une journée, avec grillades. Nous construisons aussi un four à pain pour produire du pain bio-maison et le proposer aux amapiens. Pour s'inscrire à l'Amap, on peut téléphoner ou passer le vendredi soir, de 18 h à 20 h 30, qui est le moment où l'on retire les paniers.
Amap des Quatre Saisons, Mireille et David Giroux, 7, La Roussière, à Saint-Philbert-de-Grand-Lieu : 02 28 00 12 69 ; mireille.david44@free.fr.

La nouvelle saison touristique démarre samedi - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 06 juillet 2012

Pour la nouvelle saison touristique de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu, qui élargit son offre, cette année, la Ville a réuni tous les acteurs municipaux, associatifs ou privés de la saison.


La nouvelle saison touristique philibertine a déjà commencé pour certaines de ses activités, mais elle démarrera réellement et pour l'ensemble de ses offres, samedi prochain.
« Cette année, nous avons voulu mettre l'accent sur notre partenariat multiple avec tous les acteurs du tourisme à Saint-Philbert, explique Florence Le Coz, adjointe au développement du territoire, toutes les offres, qu'elles soient municipales, associatives ou privées seront coordonnées par l'Office de tourisme de la commune. »
Une offre qui réunit des animations pour les enfants (jeux et ateliers d'histoire à l'abbatiale), des activités sportives, comme l'équitation, le tir à l'arc, le swin golf, le vélo ou le nautisme, des espaces libres autour de la base de loisirs (trampoline, pêche, baignade surveillée) et des découvertes (exploration autour du Lac de Grand-Lieu, balade sur la Boulogne).
Toutes les offres d'hébergement, au camping ou en gîte, ont aussi été répertoriées par l'Office et la plupart des activités peuvent être pratiquées en individuelle ou en groupe.
Enfin, les visites d'exploitations, initiées l'année dernière et qui permettent de découvrir les savoir-faire locaux, reprendront également durant l'été (programme à retirer à l'Office de tourisme de Saint-Philbert

Maison-Quillaud : commerce circuit court, logements d'urgence - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

mardi 03 juillet 2012

La Maison-Quillaud, rachetée par la mairie, accueillera, à partir de l'été 2013, un commerce en circuit court, « Ô Saisons », deux logements d'urgence et à l'arrière des halles couvertes pour des animations ou pour du stationnement.


Trois questions à...
Françoise Favier, Sylvain Bureau et Cédric Delaunay, respectivement, adjointe au développement économique, adjoint aux solidarités et chargé de mission Coeur de ville. Ils présenteront, mercredi soir, le projet d'aménagement de la Maison-Quillaud.
Pourquoi ce projet ?
L'étude de la Chambre de commerce sur le projet, Coeur de ville, a montré que l'ancienne Maison-Quillaud offrait un emplacement stratégique pour le développement du centre-ville. C'est un commerce d'angle, qui ouvre, à la fois sur la place de l'église et sur la rue de la Paix. Sa surface de 130 m² sur deux niveaux avec combles permettra d'ouvrir un commerce au rez-de-chaussée (55 m²), et d'accueillir deux logements à l'étage (30 et 45 m²). Un espace cour, derrière la maison, de 150 m² permettra d'aménager des halles couvertes pouvant accueillir des animations commerciales ou culturelles, et en dehors de ces animations, proposer six emplacements de parking pour le public. Un local poubelles et des WC publiques seront attenants aux halles.
Quel commerce accueillera-t-il ?
Une enquête auprès des commerçants et des consommateurs sur le commerce de proximité a permis de fixer les critères d'appel à projet pour le commerce. Le jury, dont faisait partie la Chambre des métiers, a retenu un « commerce alimentaire, en circuit court » (produits frais et saisonniers, fruits, légumes, primeurs, en provenance de producteurs locaux). La mairie reste propriétaire des murs et garde la maîtrise du foncier pour assurer la viabilité du commerce. Le commerce retenu s'appellera, « Ô Saisons », et devrait ouvrir pour l'été 2013.
Quels types de logements y seront installés ?
Actuellement, les locaux au-dessus de la Caisse d'allocations familiales (quartier Plaisance), accueillent deux logements d'urgence. Ces deux logements seront transférés dans la Maison-Quillaud et permettront d'accueillir une personne avec un enfant, pour un des logements, une petite famille, pour l'autre logement.
L'acquisition et les travaux devraient être subventionnés à plus de 60 % (conseil général, conseil régional, Etat et Europe). La municipalité récupère donc à Plaisance deux logements qui seront replacés dans le locatif social standard.

Mercredi 4 juillet, réunion publique pour présenter le projet, à 19 h 30, salle Lamoricière, en mairie (entrée par la cour arrière). Informations : http://www.stphilbert.fr

Réunion de concertation sur la signalétique philibertine - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

lundi 02 juillet 2012

La qualité de la signalétique d'une commune est représentative et porteuse de développement.


Une étude de la signalétique
Mercredi soir, salle de l'Abbatiale, en présence de Claude Denis, conseiller subdélégué aux transports et déplacements et de Cédric Delaunay, chargé de mission « Coeur de ville », Philippe Mazure de l'Amos (Assistance maîtrise d'ouvrage signalisation) présentait aux acteurs économiques, le résultat de l'étude effectuée pour et sur la commune de Saint-Philbert-de-Grand-Lieu.
Faisant suite au plan de circulation récemment réalisé, cette étude révèle l'état et l'efficacité de la signalétique et du jalonnement sur la commune. Claude Denis précise : « Nos panneaux sont vétustes, mais son renouvellement et l'apposition d'un nouveau jalonnement doit se faire en concertation avec les acteurs locaux. »
Les prérequis
« Il faut d'abord s'inscrire dans la réglementation, française et européenne », précise Philippe Mazure. « Il faut différencier la signalétique directionnelle, avec ses codes certifiés de couleurs et de taille de caractères, de la signalétique locale, propre à chaque commune, cette dernière ne devant pas être confondue avec la publicité. »
Les normes de lisibilité, de quantité par support (six), doivent assurer la sécurité lors de la lecture à 50 km/h et d'adaptabilité aux personnes en situation de handicap sont communes aux deux.
Un guidage convivial et efficace
« La signalétique et le jalonnement optimisent l'accessibilité et contribuent au développement économique et touristique, sans nuire à leur environnement. » Les panneaux locaux doivent permettre d'accéder à des entreprises ou services ne pouvant se déplacer (chambres d'hôtes, sites publics, culturels ou sportifs, ou les services médicaux ou paramédicaux par des relais info, idéogrammes...).
Une méthodologie s'impose, hiérarchisée par l'importance, du trafic, du service donné et par la situation, pôle d'activité ou lieu isolé, selon une progressivité précise et une gestion définie. Les indications privées, pour leur première implantation, seront assurées par la commune, leur renouvellement restant à charge des particuliers, de même que la fin de jalonnement de lieux très isolés.
Le débat souligna l'importance de cette opération pour lutter contre l'affichage sauvage mais aussi la crainte d'une surcharge de panneaux.

Enfance jeunesse : Gaëlle Citérin quitte le conseil d'administration - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 29 juin 2012

Gaëlle Citérin quitte la présidence de l'Association philibertine enfance jeunesse. Le Conseil d'administration, qui a été renouvelé la semaine dernière, élira son nouveau bureau le 3 juillet prochain.


La présidence de l'Association philibertine enfance jeunesse, qui tenait la semaine dernière son assemblée générale, est vacante. « Le conseil d'administration va être modifié ce soir puisqu'il y a des départs, a confirmé Gaëlle Citérin, présidente, moi-même, je quitte la présidence de l'Apej... »
L'association, qui fêtera en novembre prochain son douzième anniversaire, gère l'accueil périscolaire, l'animation jeunesse, l'accueil de loisirs et l'accueil du mercredi. « Ces quatre activités ont fortement progressé, depuis leur mise en place, a expliqué Mme Citérin, et cette progression a des conséquences sur notre fonctionnement et notre politique tarifaire, puisque la masse salariale augmente. »
La fréquentation de l'accueil périscolaire a plus que doublé en 10 ans et celle de l'animation jeunesse a augmenté de plus de 23 % ces trois dernières années « l'évolution des missions et des fréquentations dans ce domaine de l'animation jeunesse nous conduisent aujourd'hui à réfléchir à la création d'un quatrième poste au sein de l'équipe jeunesse. » L
L'accueil de loisirs a aussi plus que doublé en 10 ans et un site supplémentaire d'accueil a dû être ouvert à l'école Jacqueline-Auriol. « Mais l'évolution la plus importante, a annoncé Gaëlle Citérin, est incontestablement celle de l'accueil du mercredi ».
La fréquentation a été multipliée par plus de 3,5, en 10 ans, entraînant l'ouverture d'un nouveau site, toujours à Jacqueline-Auriol, et contraignant l'association à des refus, « ce qui est contraire à notre projet d'accueil pour tous », a regretté la présidente.
Un parcours vélo en octobre
La question des locaux est donc à l'ordre du jour et l'association travaille avec la Ville à un projet d'extension sur le site de la Businière. Enfin, outre les rendez-vous habituels comme les soirées jeux, les manifestations culturelles, les projets sur la Maison des jeunes... un parcours vélos pour les enfants à la Businière sera réalisé, en octobre prochain, et la ludothèque, qui faisait partie de la plateforme électorale de la municipalité et dont une mouture avait été présentée à la Ville, fin 2010, ouvrira ses portes, début octobre.
Un ludothécaire a été recruté et la ludothèque sera financée par la Ville et la Caf dans le cadre du Contrat enfance jeunesse.
Apej : 02-40-78-99-71 ou accueil.apej@gmail.com ou www.apej44.fr

Microcrédit social contre l'exclusion : une convention a été signée - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

lundi 18 juin 2012

Monique Rabin présente les partenaires de la convention de microcrédit signée, destiné aux personnes en difficultés financières.


La municipalité de Saint-Philbert de Grand-Lieu a signé, vendredi, avec la caisse locale du Crédit mutuel une convention de microcrédits destinés, aux personnes en difficultés financières : « Petits crédits mais essentiels, précise Monique Rabin, maire de Saint-Philbert, voire primordiaux, quand il s'agit de pouvoir acheter la voiture indispensable pour aller travailler, ou de payer une formation. »
Le microcrédit, de 300 à 4 000 €, permet aux personnes n'ayant pas accès aux crédits bancaires classiques mais disposant d'une capacité de remboursement, d'emprunter pour répondre à un projet ou un besoin déterminé. Alain Têtedoie, président de Crédit mutuel de Loire Atlantique et Centre Ouest, souligne : « La caisse reste ainsi fidèle à ses valeurs de proximité et d'accompagnement financier. »
L'imprévu matériel, achat ou réparation, ou les frais de santé ou d'obsèques, autant de dépenses inaccessibles à un budget déjà restreint et éligibles au microcrédit. Soutenus par les associations et les services sociaux, les projets sont présentés à Valérie Houdin, au Centre communal d'aide social, qui aidera les demandeurs à constituer les dossiers. Le Crédit mutuel les analysera ensuite. Les modalités du prêt varient selon chaque cas.

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La sécurité des deux roues mobilise - Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

vendredi 15 juin 2012

La municipalité recevait lundi les partenaires de l'action « Initiation à la conduite deux roues » instructeurs CRS/GEMA et représentants des collèges de Saint-Philbert et d'Aigrefeuille.


Ce lundi, Monique Rabin, la maire, Claude Denis, conseiller subdélégué aux transports et déplacement, et les conseillers municipaux ont accueilli les intervenants de la compagnie républicaine de sécurité et du groupement des entreprises mutuelles d'assurances, CRS-GEMA.
Un rassemblement pour une action commune qui associe l'approche mutualiste de la route et le respect de la loi. « Une sensibilisation particulièrement nécessaire en zone rurale, où l'habitat souvent dispersé nécessite l'utilisation de deux roues », rappelle Monique Rabin
La formation se déroule du 11 au 15 juin, en partenariat avec la municipalité philibertine, sur le parking du parc de La Boulogne. Sur un circuit aménagé, équipé d'une quinzaine de machines 50 cm 3 à 125 cm 3 , une dizaine de moniteurs CRS sensibilisent les jeunes aux particularités de la conduite à deux roues. L'approche se veut ludique mais éducative.
Théorie puis pratique, d'abord sur une moto en double commande, puis en solo. Les élèves de 3 e des deux collèges philibertins, Condorcet et Lamoricière, participent à cette initiation, de même que les élèves du collège d'Aigrefeuille. « Un partenariat stimulant pour tous », précise Monsieur Guéguen, principal adjoint du collège d'Aigrefeuille.
Vendredi 15 juin une remise de prix, en présence des élus, clôturera ces journées

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